M. Moudenc soutenu par Baudis et par le Nouveau Centre
Jean-Luc Moudenc attendait depuis quelques semaines le soutien officiel de l'ancien maire de Toulouse Dominique Baudis, c'est chose faite. Devant une foule acquise à sa cause, M. Baudis a appelé les Toulousains à voter pour le maire sortant et en a profité pour lancer sa campagne pour les sénatoriales.
Quant au Nouveau Centre, le parti du ministre de l'intérieur Hervé Morin, il a également appelé à voter pour M. Moudenc, considérant qu'il est le "seul candidat à incarner les valeurs du centre" (La Dépeche du 18/12).
A l'heure où le maire de Toulouse était vivement critiqué pour ses propos sur les banlieues, ces soutiens lancent sa campagne électorale et lui permettent de voir plus loin.
Il faut dire que M. Moudenc joue gros lors des municipales du 9 et 16 mars : maire depuis 2004 suite au départ de Philippe Douste-Blazy, il s'était présenté à la première circonscription de Haute-Garonne aux élections législatives de juin 2007, historiquement "réservée" au maire de Toulouse. Mais cette première confrontation au suffrage universel s'est soldée par un échec cinglant (environ 45% des suffrages recueillis). Pour lui, au delà de son siège de maire, c'est une question de légitimité politique vis à vis des Toulousains qui est en jeu...
L'avenir dira si les suffrages lui seront favorables ou non.
Quant au Nouveau Centre, le parti du ministre de l'intérieur Hervé Morin, il a également appelé à voter pour M. Moudenc, considérant qu'il est le "seul candidat à incarner les valeurs du centre" (La Dépeche du 18/12).
A l'heure où le maire de Toulouse était vivement critiqué pour ses propos sur les banlieues, ces soutiens lancent sa campagne électorale et lui permettent de voir plus loin.
Il faut dire que M. Moudenc joue gros lors des municipales du 9 et 16 mars : maire depuis 2004 suite au départ de Philippe Douste-Blazy, il s'était présenté à la première circonscription de Haute-Garonne aux élections législatives de juin 2007, historiquement "réservée" au maire de Toulouse. Mais cette première confrontation au suffrage universel s'est soldée par un échec cinglant (environ 45% des suffrages recueillis). Pour lui, au delà de son siège de maire, c'est une question de légitimité politique vis à vis des Toulousains qui est en jeu...
L'avenir dira si les suffrages lui seront favorables ou non.